mardi 17 janvier 2006
LE PARLER QUÉBÉCOIS
Dans un article de Michel Dolbec, publié le 16 Janvier 2oo6, dans la Presse canadienne: http://www.cyberpresse.ca/ Maurice Druon, secrétaire perpétuel honoraire de l'Académie Française: http://www.academie-francaise.fr/ se moque gentiment du parler québécois. Selon lui, le langage québécois s'est forgé à une époque où les lois définitives de la langue française n'étaient pas fixées.
Il n'est pas le premier Français à se moquer de la parlure québécoise. Thierry Ardisson l'a fait plusieurs fois à son émission de télévision, Tout le monde en parle.
Maurice Druon en a surtout contre "les féminisations absurdes" des professions libérales occupées par des femmes: docteure, professeure, agente, inspectrice, recteure, écrivaine, mairesse etc. Selon l'Office québécois de la langue française: http://www.olf.gouv.qc.ca/ c'est la société québécoise qui impose ces règles.
Je suis d'accord avec monsieur Druon sur ce point. Il me semble que les termes, indiquant les professions, tels que: médecin, avocat, maire inspecteur , ne devraient pas être féminisés.
Le digne Académicien ne fait pas cependant mention des nombreux anglicismes, qui sont à la mode à Paris, tels que: casting, footing, parking, shopping. Est-ce-que l'Académie à l'intention de sévir, puisque c'est l'Académie Française qui "est chargée de donner des règles à la langue"?
Amicalement,
Yvon
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