jeudi 13 octobre 2005

RÊVERIE

Quand je rêve à Madère, à l'île enchanteresse, Luxuriant paradis de verdure et de fleurs, J'évoque à mon esprit ces heures de bonheur Qui verseront un baume au temps de ma vieillesse Des hauteurs de Funchal, je pouvais voir la mer Jaillir sur les rochers en vagues écumantes, Et faire resurgir de ces gouffres amers Des jets d'eau scintillants, issus de la tourmente. De somptueux hôtels, aux merveilleux décors, Offraient aux visiteurs luxe, calme et confort. À chaque carrefour de la belle Cythère. On se voyait partir aux confins de la terre, Emportés par le vent, les suaves odeurs, Vers le havre céleste où reposent les coeurs.

Yvon

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